J’ai commencé à ressentir des flashes

7 Déc 2004 | Le Matin, Presse

Article par Anne-Marie Philippe pour le Matin

Au Palace ou chez le coiffeur, on en parle…de ce jeune homme de 35 ans qui a grandi dans le monde de la mode et du cinéma.

le matin

Photo modèle et comédien, il pose à 20 ans à peine pour le magazine Vogue. Il enchaîne ensuite par le film « Place Vendôme », de Nicole Garcia, au côté Catherine Deneuve et d’Emmanuelle Seigner. Des petits rôles qui lui permettent d’approcher les plus grands.

Cette année 2004 a joué un grand rôle dans sa vie. La spiritualité lui est apparue comme une évidence. « Mon arrière-grand-mère était médium, raconte-t-il. A l’âge de 8 ans, j’ai reçu son jeu de cartes en héritage. Lorsqu’il y a quelques années j’ai ressorti ce jeu, vieux de plus de 100 ans, j’ai commencé a ressentir des flashes. Fugaces, des images m’ont percuté : un visage d’enfant, un lieu, une maison, des chiffres. J’avais aussi le sentiment d’être envahi par des vibrations sonores. »

Olivier accueille ses clients en donnant immédiatement des consignes claires sur la marche à suivre de la consultation. Il évoque le fait que, pour que les prévisions puissent se réaliser, le passé doit être réglé afin qu’il ne ressurgisse pas pour saboter les opportunités présentes. Il ne fait pas de prévision pour les enfants, afin de ne pas influencer leur destin, raisonnement qui me paraît très sain. Il prévient que ses limites dans la tolérance s’arrêtent à la maltraitance des enfants et des animaux. Au mur, des articles de presse, dont certains qui insistent sur le côté VIP de sa clientèle. Olivier rétorque immédiatement que pour lui il pratique un art populaire qui ne se destine pas qu’à une clientèle élitiste.

Olivier accueille ses clients en donnant immédiatement des consignes claires sur la marche à suivre de la consultation. Il évoque le fait que, pour que les prévisions puissent se réaliser, le passé doit être réglé afin qu’il ne ressurgisse pas pour saboter les opportunités présentes. Il ne fait pas de prévision pour les enfants, afin de ne pas influencer leur destin, raisonnement qui me paraît très sain. Il prévient que ses limites dans la tolérance s’arrêtent à la maltraitance des enfants et des animaux.

Au mur, des articles de presse, dont certains qui insistent sur le côté VIP de sa clientèle. Olivier rétorque immédiatement que pour lui il pratique un art populaire qui ne se destine pas qu’à une clientèle élitiste.